Qui de mieux que la chambre à coucher pour réaliser quelques séances de luminothérapie. Cette pratique appartenant à la médecine naturelle et douce prend de l’ampleur actuellement chez de nombreux foyers. Elle est réputée pour ses vertus remarquables sur le corps, jouant notamment autour du sommeil, le repos réparateur, la fatigue, et même l’humeur.
La déco n’arrivant pas toujours à produire l’ambiance adéquate selon les saisons
Dans la chambre à coucher, l’ambiance est surtout imprimée par la décoration, l’aménagement. L’on a l’habitude de changer de style en fonction de nos envies, des nouvelles tendances… La plupart du temps, les foyers se lancent dans ce projet de renouveau à l’entame d’une nouvelle saison. Bien que l’espace de détente s’accorde parfaitement avec le temps, certains se sentent encore mal à l’aise dans leur chambre à coucher. Et si ce désagrément n’est pas dû au décor ? Généralement, une gêne ressentie dans cette pièce de la maison est cause d’insomnie et de réveils mouvementés. La luminothérapie est souvent tirée en conclusion compte tenu de ces facteurs identifiés.
Lors des changements de saison, le corps humain peine souvent à s’adapter au nouveau degré de luminosité naturel. D’hiver en automne, le sommeil devient subitement un non-soi. C’est une situation qu’il faut à changer tout prix. La luminothérapie se mue en solution fortement recommandée par rapport à ce bouleversement. Elle justifie désormais d’une pratique exclusivement domestique. Pour ce faire, la chambre à coucher devra accueillir de nouveaux éléments. Comme son nom l’indique, la thérapie repose sur la lumière. Il s’agira ainsi d’introduire des sources lumineuses supplémentaires dans la chambre.
La luminothérapie respectueuse de la déco de la chambre à coucher
La luminothérapie viendra rajouter de nouveaux foyers lumineux dans la chambre. Ces équipements doivent forcément faire l’objet d’une étude au préalable. Toutefois, il est à noter qu’ils sont rarement fixes. Les lampes de luminothérapie sont en majorité portables. Elles sont dotées d’un câblage d’alimentation ou encore d’une batterie rechargeable. L’on n’aura nul besoin d’un aménagement spécifique pour ces modèles d’appareils de luminothérapie. La seule source lumineuse stationnaire dans cette pratique est le simulateur d’aube. Les pièces de literie ainsi que le matelas ne sont pas les seuls garants d’un bon réveil. En effet, le simulateur d’aube intègre permet de toujours se lever sous les meilleures couleurs, et ce, identiquement à l’effet naturel. Il contribue aussi à la régulation du sommeil. Disposé idéalement sur la table de chevet, il ne produira aucun encombrement
Les lampes de luminothérapie, même en n’investissant que temporairement la chambre à coucher, nécessitent cependant de l’espace lors des séances. La pratique se réalisant généralement le matin suivant les recommandations des professionnels, il faudra prévoir des emplacements précis dans la pièce. Une chambre qui compte un espace de travail, par exemple, est vouée à la présence d’une lampe de luminothérapie. Cette dernière peut être laissée continuellement dans ce coin bureau à condition de s’accorder avec le reste des éléments dans la pièce. L’investissement dans un appareil plus imposant est permis dans ce cas suivant les besoins et les préférences. Un modèle compact reste toutefois fortement conseillé dans toutes autres circonstances. Il sera facile à ranger dans la chambre, et pourra être disposé n’importe où dans la maison.
Quelle lampe de luminothérapie à utiliser dans la chambre à coucher ?
Il a toujours été question de la recherche du meilleur compromis esthétique et intégration réussie de la luminothérapie dans la chambre. Finalement, l’on privilégiera l’efficacité et l’aspect pratique de ces appareils.
Les lampes se déclinent selon l’intensité de la lumière émise. C’est un paramètre à bien prendre en compte puisqu’il définit le temps de chaque séance de luminothérapie. Les caractéristiques de la lumière produite sont aussi importantes. L’effet des rayons est différent selon que l’appareil est une source blanche ou bleu. La première contribue à la production de mélatonine pour retrouver le sommeil. Le second agit dans le sens inverse, c’est-à-dire quand on ne veut pas s’endormir, en pleine journée par exemple afin de ne pas troubler l’horloge naturelle du corps.
D’autres fonctionnalités font que la lampe de luminothérapie soit rendue plus flexible à l’utilisation. Celle-ci peut se transformer en un luminaire ordinaire après réglage. Au niveau du design, les lampes sont souvent de style standard, avec des courbes généreuses. Il n’y aura pas de difficultés particulières à les disposer un peu partout dans la chambre.